Vendredi de la vingt et unième semaine du temps ordinaire
Saint
Paul nous rappelle dans sa lettre aux chrétiens de Corinthe que pour beaucoup
de gens, prêcher sur un sauveur crucifié est un non-sens – les Juifs ne
pourraient jamais accepter un Messie qui souffre et les Grecs ne pourraient
jamais comprendre un Dieu qui meurt. Mais pour ceux d'entre nous qui croient en
la sagesse de Dieu, c'est notre salut et notre espérance.
On
nous rappelle à nouveau dans notre lecture de l'Évangile d'être toujours prêts
car nous ne savons pas quand le Seigneur reviendra ou quand il nous appellera à
lui. Ceux qui sont prêts et qui ont vécu une vie chrétienne entreront dans le
royaume mais ceux qui n'ont pas été fidèles se retrouveront dehors dans le
froid.
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